Une belle initiative donc en théorie si ce n’est que la présidente de l’Unesco (Irrina Bokova) a choisi un lieu bien particulier pour organiser cette journée : Téhéran. La capitale iranienne serait donc pour un moment, le centre de la réflexion philosophique mondiale, elle qui abrite un pouvoir autoritaire et sanguinaire qui n’hésite pas à tirer sur la foule à la moindre manifestation de mécontentement.
Devant cette décision scandaleuse de donner au régime iranien une occasion de se blanchir devant la scène internationale, de nombreux intellectuels ont entamé une vague de protestation.
Celle-ci ne doit pas retomber, en mémoire de tous les opposants tombés sous les balles d’un régime qui n’aime pas la vie.
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