Il condamne fermement la suppression de 34 000 postes dans la fonction publique prévue en 2010, à l’heure ou les chiffres du chômage battent des records, et dénonce une politique salariale désastreuse en termes de pouvoir d’achat.
Il souhaite également rappeler que le premier résultat de la Revue générale des politiques publiques est une suppression massive de postes, dénoncée par le dernier rapport de la Cour des comptes, dont la principale conséquence visible pour les Français est la remise en cause du service qui leur est rendu.
Les représentants du Parti socialiste seront donc aux côtés des infirmiers, des professeurs, des agents de police et des fonctionnaires, dont la France a besoin et qui refusent de voir la qualité et la dignité de leur travail mises en cause par des politiques néolibérales.
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