Tout avait pourtant bien commencé entre Google et Apple. En 2007, un ennemi commun, Microsoft, les poussent à s’allier. Les applications Google, Youtube, Google Maps et la recherche dans le navigateur Safari, sont embarqués nativement dans l’Iphone.
Le refus d’applications Google par Apple enveniment, cet été, leurs relations. Ces applications risquent d’entrer en concurrence avec de futurs services Apple. C’est d’abord Google Latitude (service de géolocalisation) que Google finit à proposer en site Internet. On apprend plus tard que Apple rachète PlaceBase, qui offre le même service. Ensuite, c’est au tour de l’application Google Voice d’être rejetté (qui permet de regrouper plusieurs numéro de téléphone et de téléphoner sur Internet).
Puis, début août, on voit Eric schmidt, le PDG de Google, quitter le conseils d’administration d’Apple. Le système d’exploitation Androïd pour téléphone de Google entraîne des conflits d’intérêts. Le Nexus One, conçu par Google et HTC, est le coup de grâce.
Désormais Google vends des téléphone, conçoit un système d’exploitation pour NetBooks, et engrange les recettes publicitaires du trafic Internet. Apple est donc son concurrent sur tous ces points. Il ne touche d’ailleurs aucun revenu de la publicité, malgré le fait que Ipod Touch/Iphone génèrent un tiers du trafic Internet sur mobile mondial. Apple veut désormais sa part et prépare des acquisition et produits dans ce sens.