Quand la mémoire sort de l'ombre

Cet premier article d’une série de trois, m’a été inspiré d’une lettre publiée dans le site Web du Journal: Le Devoir en date du 28 décembre 2009 et intitulée: Vienne ce monde nouveau. Je suis actuellement à rédiger un livre, dans lequel je rends un témoignage romancé sur la prévention du suicide et l'abolition des préjugés envers les personnes touchées par la dépression ou la maladie mentale. Ce regard nouveau, sur des évènements dont les expériences passées sont d’intérêts publics, a fait remonté à la surface de ma mémoire, certains passages plus pénibles de ma vie et que je n’ai jamais pu confié à qui que ce soit.

La réconciliation avec la Vie

La plupart de ces documents auxquels je me réfère, ont été mis de côté pendant plus de vingt-cinq ans, à cause des chemins qui furent les miens de 1990 à 1999, c'est-à-dire, des chemins de faillite financière personnelle suite à une longue démarche administrative devant le Collège des Médecins du Québec et le Tribunal des Professions, de douleurs physiques majeures suivies d'importantes chirurgies, d’une profonde dépression et d'hospitalisations multiples, en plus de pertes et détachements et pertes survenus dans ma vie personnelle.

Je me suis réconciliée avec toutes les personnes impliquées dans ces dossiers administratifs, avec le Gouvernement et l’État qui inventent des millions de points de droits et de lois qui manquent de charité de justice et d’humanité, mais principalement avec moi-même et avec la Vie. Le véritable pardon en profondeur ne peut pas se réaliser complètement, lorsqu'il n'y a eu aucun avis d’erreur de jugement ou erreur administrative, ainsi qu’aucune réparation ni repentance. C’est pouquoi dans certains cas, on doit utilisé les moyens mis à notre portée, pour témoigner publiquement de ces situations en apparences personnelles, mais à caractères d’intérêts publics.

Chaque être humain peut être sortit, doucement ou brusquement, de ses routines quotidiennes. Personne ni rien n’est parfait en ce bas-monde, il n’y a que des situations à améliorer, ainsi que des lois à humaniser, à simplifier et à rendre plus transparentes et accessibles à tous les citoyens

À l’école de la vie….comme Harry Potter

Je ressens énormément de respect pour tous les êtres humains qui ont empruntés les sentiers du burn-out et de la dépression, de la maladie mentale, ainsi que les gens qui vivent à longuer de journées, avec des limitations et handicaps physiques ou psychologiques. Alors que je me sentais bien seule dans ma souffrance physique et morale, nous étions des millions d’êtres humains à vivre des blessures semblables. Parfois, je mentionne le terme de "l'asile psychiatrique" pour utiliser un langage coloré. Même si ce témoignage est très sérieux, j'essaie d'y ajouté une pointe d'humour, à certains endroits souvent les plus lourds à écrire.

La souffrance ne se compare pas, mais elle se partage ( Auteur: Patricia Turcotte )

Il y a pourtant plus de vingt ans, que le jugement du Tribunal des Professions a renversé le jugement du Comité de Discipline du Collège des Médecins du Québec, et c'est à peine si je commence à être en mesure de témoigner de façon romancée, des tristes et désolants chemins empruntés, suite à ces évènements personnels, mais d’intérêts publics. En 1990, à la demande de l’avocate du Protecteur du Citoyen de l’époque, j’ai donné mon consenetement afin qu’ils puissent se servir de mon de l’époque ( Patricia Bisson ), pour poursuivre avec les Associations de Consommateurs du Québec, la réforme des corporations professionnelles et du droit professionnel au Québec. En tant que citoyenne, j’avais mis mon grain de sel dans ces chemins audacieux et périlleux.

Bref passage de mon premier livre à venir

À la lecture du jugement du Tribunal des Professions, il se passe quelque chose d’anormal dans ma tête. Je me sens confuse pour la première fois de ma vie, entre ma réalité médicale et la réalité médicale écrite dans le jugement final et sans aucun appel. Je me questionne pendant quelques minutes, à savoir si réellement j’avais vécu ces évènements-là. Plusieurs personnes sombrent dans ces moments de grandes confusions, dans les tristes sentiers des maladies mentales, y compris de la maladie de l’Aizlemer.

Complètement épuisée physiquement, émotionnellement, psychologiquement et spirituellement, tous les fantômes du passé me hantent dans cette odyssée au fond de ma mémoire, de mes souvenirs et de ma conscience. Comme dans un semi coma individuel et collectif, je traverse péniblement une dizaines de pleines lunes, bien sombres. Je relate dans le livre romancé en cours, les nombreux pas dans l'action, pour parvenir à m'en sortir "pour aujourd'hui seulement".

Mode de vie des 12 étapes

Histoire de partager comme le cite mon mode de vie des 12 étapes, en utilisant le seul recours posible qui est à ma disposition, soit l'écriture de partages sur mon blog internet, l’écriture de libérations et de guérisons des blessures. Jamais je n'ai pu trouvé de gens détachés et professionnels, à qui j'aurais été en mesure de confier les évènements qui sont survenus à compter d’un accident de travail en 1981, suivi des évènements qui se sont produits par la suite.

Lorsque je parvenais à bien contrôler mes émotions face à la douleur insoutenable, on me laissait à l'urgence des hôpitaux avec des calmants contre la douleur. Lorsque je ne parvenais plus à maîtriser mes émotions renversantes face à ces malaises bizarres, on me transférait à l'asile psychiatrique. Ce n'est qu'en 2001, que l'on a enfin diagnostiqué les vrais bobos qui justifiaient des remèdes puissants contre la douleur chronique.

Afin de remettre les lecteurs dans le bon contexte, je cite que je ne me plaignais pas pour rien, au sujet des douleurs bizarres au dos, et ce, pendant plus de 20 ans. Deux semaines avant une chirurgie complète de la hanche gauche en 1997, on me disait encore que ces bizarres de douleurs au dos, étaient de natures imaginaires et psychologiques. À travers toutes ces années, je me suis crachée dans les mains, en reprenant mon courage à deux mains, et en ajoutant à mon baluchon vide, le mode de vie des 12 étapes des Émotifs Anonymes,. C'est d'ailleurs ce que je vis à chaque jour de mon quotidien, et même à travers ce témoignage; en espérant qu’au moins deux lecteurs en prendront connaissance. Pour une réunion de ce mode de vie, il suffit d'être au moins trois personnes.

Les chemins de libérations et de guérisons

On m'avait assuré que je devrais être suivie à vie et prendre des remèdes à vie, pour la maladie mentale, c’est-à-dire, pour guérir les maladies du cœur, de l’esprit et de l’âme. Voilà que depuis le printemps 1999, je ne prends plus aucun remède ni aucun suivi médical psychiatrique. Mêmes les remèdes Ativan et Restoril, pour calmer l'anxiété et pour aider au sommeil, ne font plus parties de ma vie depuis près d'un an et j'ajoute, "pour aujourd'hui seulement". Car personne n'est à l'abri de voir un bon matin, son système nerveux explosé à bloc, en voyant bien impuissant les fusibles sautés, les uns après les autres.

L'espoir au rendez-vous pour tous

Savez-vous pourquoi je m'en suis sortie ? D’abord, à travers mon écroulement physique et mental total, je n’ai baissé les bras qu’une seule fois. Même si mon corps et mon esprit furent emprisonnés dans de tortueux chemins de souffrances, jamais mon cœur n’a cessé de croire en la justice; sinon, je serais carrément tombée dans l’idiotie ou je serais restée dans une phase de délirium. Une raison principale est aussi que j'ai eu le courage et l’humilité, de demander l’aide-d’en-bas ou l’aide humaine autour de moi, mais aussi, l'Aide-d'en-Haut.

De votre côté, donner à cette dernière, le nom qui vous convient personnellement. En plus, j'ai fais confiance aux anciens et aux nouveaux prophètes qui disaient que, les chemins de libérations et de guérisons existent, en ce qui concerne toutes les maladies physiques et mentales. De plus, un psychologue m'a affirmé que chaque être humain possède en lui-même, le pouvoir de se guérir, en complément avec ses soins et traitements traditionnels ou naturels. Lorsque je possèderai les moyens financiers de me tourner vers des remèdes naturels en naturopathie, ce sera la suite de ma victoire personnelle.

Pas encore rencontré le Christ et encore moins atteint le Nirvana

Lorsque je possèderai les moyens financiers de me tourner vers des remèdes naturels en naturopathie, ainsi que des chaussures orthopédiques et des massages musculaires au dos. Cela serait la continuité de ma victoire personnelle, qui me permettrait de continuer à ne pas augmenter les puissants remèdes contre les douleurs, et de continuer à conserver un excellent moral. C'est dans ce genres de situations que l'on se rencontre que, c'est bel et bien l'argent qui mène ce monde. Les bien nantis se payent tous les produits et soins de santé les plus naturels, alors que les gens vivant au seuil de la pauvreté économique, se contentent de remontant de chaussures achetés à 1$ au Dollarama. Quant aux massages musculaires, plusieurs gens moins bien nantis financièrement, comblent ces besoins médicaux naturels et nécessaires à leurs conditions de santé, avec des amis de leurs entourages, alors que d'autres se lancent misérablement dans des débats sexuels de toutes sortes.

Massages musculaires chez les Raëliens

Quelques-uns moins audacieux et plus timides, songent sérieusement à entrer dans le groupe des Raëliens, pour combler ces besoins essentiels en massages musculaires, dans le seul but de se faire masser le dos. Les gens plus favorisés paient tous ces services de massages musculaires, dans des cliniques de massothérapies privées. Quelle vaine !

Marijuana, Dérivé de la morphine, Opium, Feuille naturelle et gomme à mâcher de Moma Coca, Aspirine ou injections intramusculaire de Talwin

La marijuana ne me convient absolument pas, puisque je n’avale pas la fumée de cigarette. Dommage, ce serait moins dommageable que de prendre des puissants remèdes pour diminuer et soulager les atroces douleurs physiques, chez des milliers de citoyens. Encore là, ceux qui ont accès aux prescriptions médicales de cette feuille d'herbe bleue, doivent se la procurer auprès des gens œuvrant dans la cueillette illégale de pavot, etc.

La feuille naturelle de Moma Coca, tel que vu à l’émission Enjeux à Radio-Canada, je connais pas. Y paraît que cette feuille de Moma Coca à l'état pure, ne serait pas une drogue. Pourquoi ne pas en faire des gommes à mâcher, pour les citoyens souffrants de sérieuses maladies chroniques souffrantes et invalidantes ? Plusieurs personnes doivent utiliser des remèdes dérivés de la morphine, pour soulager leurs malaises; y paraît que le bon terme serait de dire de l’Opium. Quand on ne peut faire autrement que de rester seulement dans la médecine traditionnelle, sans avoir aucune ressource financière pour se procurer des produits de santé naturels, il faut bien prendre ce que la médecine possède de mieux pour enrayer les bobos insoutenables.

Les soins de santé en pièces détachées

L’idéal serait le mariage de la médecine traditionnelle avec la médecine naturelle, sans oublier de mentionner une meilleure entente entre la science psychiatrique et la foi. Va chez un orthopédiste pour soigner son genou, ses hanches et son dos. Consulte le médecin traitant pour le contrôle de la diabète et de l’hypertension, va voir le psychiatre afin de soulager les malaises de ton esprit et si tu as les moyens financiers plus élevés, rends-toi chez un bon psychanalyste ou un voyant professionnel. Si notre cœur invisible souffre trop, il faut bien aller rencontrer un psychologue ou un psychiatre, mentor ou un curé. Encore faudrait-il que le domaine des croyances religieuses et spirituelles soient pris en considération, dans certains cas. Chacun possède ses spécialités bien encadrés.

Un monde nouveau

Comme dans un garage de pièces d’automobiles, on doit bien voir aussi à faire venir de nouvelles pièces usagées ou neuves, pour soigner son corps physique, son cœur et son âme. La science médicale et le domaine de la foi pourrait se donner la main, pour que les citoyens parviennent à rétablir une meilleure harmonie dans le domaine de la santé physique, mentale et spirituelle.

Diminution des maladies physiques et mentales, le nombre de suicides, les désordres sociaux et la criminalité

Je souhaite de voir le jour où, la médication traditionnelle se combinera avec la médication naturelle. Ces nouveautés aideraient grandement à faire diminuer le taux des maladies physiques et mentales, le nombre de suicides, les désordres sociaux, ainsi que le taux de criminalité qui diminuerait, sans l'ombre d'un doute, le nombre de prisonniers dans les Institutions pénitencières du Québec, du Canada, mais aussi, de partout dans le monde entier. Parce que tous ces sujets de grandes importances, concernent aussi la population de tous les pays du monde entier. Que les êtres humains habitent au Québec, au Canada ou en Haïti, le domaine de la santé, de la justice et de l’harmonie sociale sont prioritaires pour tous les peuples.

Les aînés de 25, 40 et 53 ans

Comme toutes les personnes qui doivent soulager les douleurs chroniques, avec les remèdes chimiques, il faut bien veiller constamment à diminuer les doses, lorsque vient le temps de vivre mon loisir de l’écriture. Pour les travailleurs qui endurent des malaises chroniques à longueur de journée, c’est sûrement la même chose. Les sorties au restaurants et les loisirs deviennent à peu près nulles, surtout pour les citoyens qui ne possèdent pas d’automobile et qui reçoivent un revenu modeste. À pied, on ne va pas plus loin que le bas de sa rue, et encore là, comment la remonter sinon en taxi adapté ou en taxi au tarif régulier ? Plusieurs personnes vivent exactement comme les aînés de 65 ou 75 ans, et pourtant, celles-ci ne sont âgées souvent que de 25, 40 et 53 ans.

Les handicaps n’ont pas d’âge

Ce ne sont que de brèves limitations au quotidien, qui représentent une minime partie de la réalité vécue par les gens vivant avec des limitations physiques ou psychologiques, ou ayant des handicaps de toutes catégories Dans la région où je demeure, il n’y a aucun logement sociaux adaptés pour les personnes handicapées. Quant aux loyers à prix modiques ( HLM ), la liste d’attente est très longue. De plus, les personnes handicapées encore fonctionnelles dans un loyer traditonnel, ne peuvent loger dans un HLM, avant d’avoir atteint l’âge de 55 ou 60 ans. Quand à l’allocation-logement, celle-ci débute seulement à l’âge de 55 ans. Pouruoi ne pas prendre en considération, que les handicaps et les conditions de pauvretés économiques ne possèdent pas d’âges ?

Ce sont des repréentations que je jumelle avec toutes celles entreprisent par les organismes communautaires, les groupes sociaux et gouvernementaux qui se penchent sur ces sujets et débats de société.

Que ferions-nous sans les artistes ?

Je suis âgée de 53 ans. Pourtant, mon rythme de croisière au quoditien, ressemble étrangement aux aînés de 65 et 75 ans. Comme eux, je sors de mon domicile à peu près une à deux fois par mois…. pour changer mon chèque….que l’on fait semblant de me donner; comme cite une chanson populaire. Les chansonniers, les humoristes et tous les artistes sont de véritables travailleurs sociaux, à travers leurs talents artistiques. Ceux-ci ont été des acteurs dans ces chemins de guérisons de la mémoire et des souvenirs.

Empathie et compréhension

Je prends d’une main et je redonne de l’autre, à travers quelques articles de motivation. C’est tout de même plus intéressant que de végéter comme une semi-comateuse. Et oui…je sors d’un semi-coma mental qui aura duré plus de 25 ans. Les chemins que je fréquentent depuis 1981, incluant tous les sentiers administratifs empruntés et bien cités dans le dernier témoignage, ne sont pas faciles à comprendre pour l’entourage. Surtout si on considère que toutes les maladies et douleurs chroniques qui ne ne soient pas au premier coup d’œil, n’attirent que très peu d’empathies et de compréhensions.

Pour ce qui est des sentiers administratifs qui ont aussi faits parties de ma réalité quotidienne depuis fort longtemps, ce n’est pas évident pour les proches et les amis de se démêler dans ces comprexes procédures administratives qui rendraient fous, n’importe quelle personne en excellente santé physique et mentale. Je les comprends aussi, car les bienheureux qui osent s’embarquer dans des sentiers pareils, y sont un brin pris par la douce folie ? Ce qui rend heureux dans le cœur humain, c'est d'en arriver à embrasser cette douce folie. Incroyable mais pourtant réalité !

La vie en abondance, pourquoi pas ?

En réalité, je laisse toujours une porte ouverte pour le meilleur. Ayant toujours conservé mon permis de conduire, je garde l’espoir et le cœur ouvert pour un avenir meilleur. Dans chaque situation, je regarde quelques minutes seulement, ce qui pourrait arriver de pire. Par la suite, je me retourne vers ce qui pourrait survenir d’extraordinaire. Ainsi, la réalité ne peut plus me paraître aussi pire que celle du passé.

Si je ne parviens jamais à me louer ou m’acheter une voiture, ce peut être la rencontre de bons amis, avec qui je peux aller au cinéma pour visionner le dernier film du parrain ou de Colombo, accompagner une personne seule à un concert musical ou une pièce de théâtre, faire une petite ballade à pied dans le Vieux-Québec, et tant d’autres loisirs qui me passionnaient tellement autrefois.

Envisager de quitter les rangs de l’assistance sociale ( B.S. ) ou ceux de la Régie des Rentes d’invalidité, afin de laisser ma place à d’autres citoyens, pourquoi pas ? J’ouvre ma vision à une vie meilleure et à une Vie en abondance, mais pas une survie de misères économiques et de maladies chroniques, pour le restant de mes jours.

Le Paradis sur Terre

Ce ne serait plus les promesses faites par les plus grands prophètes. Par ailleurs, on aurait peut-être le Paradis à la fin de nos jours, et non le Paradis sur la Terre tel que promis dans les Évangiles. Comme les sermons des curés, ce serait de donner le pouvoir total, aux mains des ténèbres et de l’enfer de ce bas-monde. Br..Br..Br…! Ah misère…Ah malheur…! Si ce premier homme Adam n’avait pas croqué la pomme de sa douce Ève.

Ce monde nouveau est à nos portes

Peut-être aussi que je devrai me satisfaire d’un véritable travail rémunérateur et temps partiel, tout en retirant mes rentes du Québec, et ce, tant et aussi longtemps qu’il y aura des coffres dans ces fonds publics. Le Gouvernement, l’État et toute la population du Québec envisage ces temps-ci, de diminuer les dépenses gouvernementales et publiques, tout en assurant une bonne qualité des services sociaux et publics, ainsi que les soins de santé publics. Les citoyens ne manquent pas d’idées pour conseiller les élus au pouvoir, mais encore faut-il que ceux-ci soient écoutés sérieusement.

Cela ne pourra pas se concrétiser, sans que tous les élus et contribuables y ajoutent leurs grains de sel, y compris les cadres et les fonctionnaires du Gouvernement et de l’État, toutes les bureaucraties administratives si complexes et coûteuses au Gouvernement et aux citoyens du Québec, les grandes Compagnies, les Commissions scolaires, les organismes communautaires souvent multipliés par 5, ainsi que tous les travailleurs, les employeurs et les retraités du Québec.

J’y crois encore à ce monde nouveau où chaque citoyen a sa place au soleil. On ne pourra pas changer le monde, si on ne commence pas par se changer nous-mêmes. Tout est possible à ceux qui croient.

Patricia Turcotte © Le 21 janvier 2010

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