En passant au dessus de chez toi
J’ai le cœur chargé d’émois
Ma bouche mime d’infinis silences
Et mon sac à souvenir et en souffrances
Croyant être libérer de mes angoisses
Loin de se lieu qui nous a porté la poisse!
A avoir tenter si longtemps de respirer sans toi
Pour me croire finalement moi
Cependant il sufis juste que je m’arête
Pour que surgisse à la fenêtre
Touts ses chapelets de tendresses
Au confins des nos soirées d’ivresses
Curieux que tout cela ne se soit pas envolé
Flopées de voluptés
Mêlées de plaisirs
A ne plu savoir qu’advenir
A présent mon cœur convalescent
Au hasard d’une visite ce nouvel an
Au grand palais de nos romances
Souvenir des nuits de Byzance
Dédié a C.D….. Caregnato Alberto le 20.01.2010