Exemple de discrimination positive ratée

Jean-Marcel Bouguereau m’a fait l’honneur d’une précision sous mon article précédent concernant la burqa. J’ai donc recherché son point de vue personnel. Voilà ce que j’ai trouvé sur son blog :
"Chaque matin on se dit que vont-ils trouver de plus pour nous enfoncer dans cette mélasse nauséabonde ?"

« Mais revenons-en aux fondamentaux justement rappelés par Antoine Sfeir, directeur des Cahiers de l'Orient et spécialiste de l'islam, qui a estimé mardi qu'"il ne faut légiférer en aucun cas" pour interdire le port du voile intégral en France car ce serait faire le jeu des islamistes, estimant que sur les 3 % de musulmans 90% avaient "choisi les valeurs républicaines et l'intégration" et que les islamistes ne sont qu'une minorité. »

Jean-Marcel Bouguereau ne dit pas explicitement s’il partage cet opinion, mais ça y ressemble du fait de son choix de cette citation.
Dans ma recherche je suis également tombé, sur un tout autre sujet, sur cet article :
"Que cherche vraiment Fadela Amara ? Du zèle pour être reconduite au gouvernement ou des actes ?"
avec cette conclusion :

« Quelle différence entre Fadela Amara et Martin Hirsch ! »

que je commente : Martin Hirsch est un énarque alors que Fadela Amara a bénéficié d’une discrimination positive. Même Jean-Marcel Bouguereau note une différence de niveau et surtout de résultat.
Le plus drôle dans son article c’est ça :

« Et lors de l'affaire de l'EPAD elle apporté un soutien à Jean Sarkozy en n'hésitant à lui conseiller de saisir la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité) en raison d'une "discrimination au patronyme" ! »

Le dernier produit de la discrimination positive s’appelle Nora Berra. Il semble qu’elle soit bien partie pour faire des étincelles, elle-aussi.