Dans la série semaine des questions.
Suis-je pessimiste ? Et vous ?
Par moments, je le crois. A d'autres, je me le demande.
J'ai toujours pensé que non, j'ai souvent rectifié en disant, pessimiste non, réaliste, lucide oui.
Mon alchimie n'est pas simple, ai-je conclu.
Parce que par habitude, j'ai tendance à voir le verre à moitié vide. Puis, dans un second temps, à dépasser cela et à essayer d'aller vers quelque chose qui permettrait de le remplir davantage, ce verre.
Elevé au lait du gouverner c'est prévoir, prévenir c'est guérir, j'ai tendance c'est vrai à traquer le risque et le danger pour tenter de contrer cela, me donner les moyens pour que les crasses ne me tombent pas dessus.
Peut-être qu'au fil des ans, oeuvrant ainsi, on creuse un regard qui donne l'impression d'un pessimisme. Le dico ne me contredit pas sur ce point. Dans un premier temps. Mais dans un second, il me dit le contraire. Je crois rarement aux issues défavorables.
Mince ;-)