Les moutons de Richard, eux, ne vont pas à l'abattoir : ils y sont déjà. Et mieux encore, ils procèdent à leur propre exécution. Ce qui ne manque pas d'un côté assez maso, d'une part, mais surtout méchamment pathétique de l'autre.
Et puis, dans un bouquin, z'avez beau crier au personnage de se reprendre, personne ne semble vous entendre.
Pour vous sentir moins seul, on vous propose de retrouver la chronique du jour, Mouton, de Richard Morgiève.