Chez Dolce & Gabbana, l'homme retrouve toute sa virilité latine. Portant le classique béret-casquette sicilien, les modèles semblent sortis tout droit du film "Baaria", roman fleuve tourné par Giuseppe Tornatore dans la région de Palerme, dont les images défilent sur un grand écran.
Les stylistes Domenico Dolce et Stefano Gabbana renouent avec leurs racines méditerranéennes en revisitant les modèles qui ont fait leur succès. Les costumes impeccables sont en velours sombre. Les chemises à petit col fin, rigoureusement blanches, se portent avec une micro cravate et un gilet. La maille est omniprésente: dans les pulls tricotés à la main à grosses mailles, dans les veste manteaux en laine à col large. Sans oublier les caleçons de grand-père proposés avec un simple tricot ou une veste.
Mais, une fois vous avoir décrit ce défilé, je peux vous dire que je ne l'ai pas aimé. C'est mon choix et ce pour plusieurs raisons. Le défilé est rythmé par une musique italienne triste, j'ai besoin pour ma part de vitalité, de joie de vivre.
D'autre part, je ne suis pas fan des vêtements qui sont néanmoins très urbain et branché qui conviendront à beaucoup d'hommes. Là encore, les vêtements étaient tristes, tout en gris et en noir...
Qu'en pensez vous ?