Je connaissais L'étrange défaite de Marc Bloch et 1918 : l'étrange victoire de Frédéric Guelton mais pas L‘impardonnable défaite 1918-1940 de Claude Quétel. Je ne l'ai pas lu mais j'ai bien envie de le faire après un débat entre l'auteur et Eric Zemmour qui revient sur le sujet dans le Figaro. Ce débat de la chaîne Histoire est en ligne sur Internet. Tout n'est pas bon à prendre mais cela pose la question du pacifisme à tout prix. Pour moi, c'est clair : Si vis pacem, para bellum.
Gustav Stresemann (à gauche), Austen Chamberlain (au milieu) et Briand (à droite) en 1925 (WIKI)