Je ne peux pas commencer ce premier billet de l’année sans vous souhaiter une excellente année, qui j’espère vous apportera tout ce que vous souhaitez. Ces dernières semaines, je suis rentrée de vacances pour repartir immédiatement en orbite professionnel, avec un rythme de travail qui ne m’a laissé aucun répit pour ne serait-ce que penser à aller voir une expo. Heureusement, toutes les bonnes choses ont une fin, et je peux enfin retrouver un semblant de vie privée pour constituer un semblant de planning digne de ce nom.
Le programme de ce qui m’attend – et vous par la même occasion – pour ce qu’il reste du mois de janvier :
Ce soir, A love Supreme, In Memorian John Coltrane au théâtre du Grand Parquet, où un conteur déclame « A love Supreme », texte du congolais Emmanuel Dongala, mis en musique sur du jazz de John Coltrane.Les 39 marches au théâtre de la Bruyère, adaptation théâtrale d’un texte d’Hitchcock mise en scène par Eric Métayer.
Métronome de la chorale Cinq de Choeur avec ma pote Elise à qui j’ai promis un big up spécial, qui visiblement mêle chant et humour (mais vous savez que je n’aime pas trop en savoir sur les spectacles avant pour garder la surprise.
Je l’aimais, avec Irène Jacob et Gérard Darmon au théâtre de l’Atelier. J’avais adoré le bouquin d’Anna Gavalda sur le coup, mais je vous en avoue que quelques années après, je n’en ai aucun souvenir sauf qu’il s’agit d’une discussion entre une femme qui vient de se séparer de son mec, et son (ex)beau-père. J’attends donc si Darmon pourra jouer de sa voix grave et suave pour me vendre du rêve.
En dernier, de manière un peu différente, mais c’est une expérience que j’aimerais vous raconter, je vais aller au resto Dans le noir, où l’on dîne en aveugle complet.
Voilà qui rattrapera pour mon silence de ces dernières semaines !