Avant les méthodes agiles, les rôles étaient établis.
Il y avait le développeur, le team leader, l’architecte, le chef de projet…
Chacun s’occupait de sa paroisse. L’architecte de la qualité des devts. Le chef de projet des délais. Le team leader du moral des troupes. Etc…
Maintenant que l’équipe s’organise comme elle le souhaite, les choses sont plus fluctuantes.
Tant mieux.
A condition que les débats s’organisent tous seuls autour des vrais axes. Arbitrage entre qualité et budget. Arbitrage entre veille techno et impératifs de délai. Entre impératif pour l’équipe et formation des uns et des autres. Etc…
Peut-être faut-il quand même toujours un meneur de jeu, qui vérifie que l’on continue à se poser les questions (sans y répondre).
Le meilleur meneur de jeu étant celui qui s’efface, une fois son travail de mise en situation fait, derrière les joueurs et leur interprétation, les laissant libres et créatifs…