Des essais cliniques, avec peu de participants, avaient déjà suggéré que les opiacés et d’autres médicaments pouvaient influencer la façon dont le cerveau encode les souvenirs traumatiques, prévenant ainsi les événements d’être encodés avec trop d’intensité.
Une hypothèse est que l’intensité des souvenirs traumatiques seraient liés au niveau de l’hormone de stress noradrénaline (ou norépinéphrine) au moment de l’événement. La morphine, peu de temps après cet événement, diminue la transmission de la noradrénaline dans le cerveau et par conséquent l’intensité du traumatisme.