Les feuilles sont dispersées en désordre sur le boulevard, de quoi il est devenu plus triste.
Les arbres nus ont l'air fin et élégant, et maintenant le soleil touche la terre sans difficultés.
Mais l'air n'est pas déjà chaud, plutôt frais.
Le froid tàche tout le temps de rejoindre un passant solitaire et se tapir sous le col.
Tout le monde sent la respiration de l'hiver. Et des maisons comme si se sont redressées, se trouvent fièrement comme un mur, et étonnent leur majesté.
Mais je vais sur le boulevard, et je suis contente de ces rayons du soleil, qui sont partout, même ils ne chauffent pas. Je vais, en regardant les passants, parce que je m'intéresse quelles idées ils ont...
Je souris. L'hiver est venu.