Paul Eddy a proposé en décembre dernier son dernier livre Nom de code : Mandragore.
L’histoire : Défigurée par un criminel, sauvée par la chirurgie esthétique, plus belle et déterminée que jamais, l’agent britannique Grace Flint dirige l’un des plus gros coups de filet de la Force d’ Intervention Financière, la FIF. Son objectif : capturer un ancien espion est-allemand reconverti dans un trafic mondial de blanchiment d’argent. L’homme est dangereux, réputé intouchable, et Flint a tout prévu pour qu’il ne lui échappe pas.
Mais Flint voit le piège qu’elle a tendu se refermer sur elle. Quelqu’un l’a trahie, au sein même de la FIF. Quelqu’un qui est suffisamment proche d’elle pour anticiper toutes ses décisions. Son nom de code : Mandragore.
Durant presque 600 pages la pauvre Flint va essayer de comprendre ce qui lui arrive et qui a réussi à la manipuler de cette manière. Tout le monde dans son entourage peut-être ce Mandragore et il faudra savoir à qui faire confiance.
Elle finira par découvrir qu’il y a beaucoup d’autres intérêts en jeu et de personnes dans ce complot. Une aventure qui la mènera des Etats-Unis en Angleterre et en Allemagne. Seul bémol dans ce livre, beaucoup de personnages à suivre et les quelques phrases en Allemand non traduites.
Nom de code : Mandragore de Paul Eddy, Editions Pocket, 608 pages, 8.10 euros.