Les participants ont, en outre, appelé à élargir le cercle des bénéficiaires des différentes actions et activités menées par ces associations, tout en œuvrant pour consolider leur rayonnement à l’échelle régionale et nationale.
Un intérêt particulier doit être accordé aux poètes de l’art du Malhoune, à ses chanteurs et à ses musiciens, ont-ils estimé. Ils ont, d’autre part, appelé à mettre en exergue le rôle de la femme dans la préservation du Malhoune et son développement, rappelant le rôle de l’Université marocaine à travers la formation de groupes de recherches sur la culture populaire au sein de laquelle le Malhoune occupe une place de choix.
Les enseignants-chercheurs, ont-ils noté, ont réalisé une série de recherches et de thèses mettant l’accent sur les vétérans du Mahoune, soulignant la nécessité de promouvoir la recherche scientifique dans ce domaine, encourager les universités et les instituts à valoriser cet art et œuvrer pour le vulgariser auprès des générations montantes.
Lors de cette rencontre, deux ateliers thématiques ont été constitués pour débattre de la situation du Malhoune au Maroc et des études et recherches relatives à ce patrimoine national.
MAP