Dans la grande diversité de son « information » quotidienne, le torchon de l’avenue de la Gare raconte que toutes les polices d’Europe et des Balkans ont dû se mettre en quatre pour saisir 5 litres de GBL (gammabuty rolactone) qu’il a bien entendu confondu avec le GHB, dont le nom scientifique est l’acide gamma-hydroxybutyrique (drogue dite du violeur).
C’est à partir du GBL qu’on fait du GHB, car consommé comme tel, le GBL provoquerait la mort.
Il est en effet normalement utilisé dans l’industrie comme solvant à peinture, époxy ou vernis à ongles où ses caractéristiques très acides font fondre le plastique, décapent et blanchissent les vernis. Encore une crétinerie à mettre sur compte des professionnels de la sémillante Ariane, qui a décidément du souci à se faire.