Ce livre commence et se termine sur des funérailles, tout est loin d'y être joyeux mais il y règne une atmosphère volontaire, positive. Michel, le héros, est un jeune garçon d'une famille bourgeoise aisée de Paris. Son quotidien est fait de cours au lycée (H IV) où il se régale de littérature et lutte contre les mathématiques. Après les cours, il va jouer au baby dans les cafés du coin. L'un de ses QG est le Balto. Dans ce café du quartier latin, il croise régulièrement Sartre et Kessel. Et puis il y a cette salle accessible par une porte dérobée qui laisse souvent passer des clients, toujours les mêmes. Derrière cette porte, un club d'échecs. Les visiteurs sont majoritairement des émigrés des pays de l'est, bloqués derrière le rideau de fer, qui veulent retrouver la liberté. Chacun a une histoire propre, de lache ou de héros, mais est en France un anonyme sans travail. Outre ces amitiés avec les exilés, Michel est directement engagé dans les questions qui agitent la France des années 60 : son frère et son meilleur ami se sont engagés en Algérie, ses cousins pieds noirs sont obligés de rentrer à Paris. Et bien sûr, c'est l'apprentissage des gouts, des passions, des arts pour un adolescent.Un bon roman dont tous les personnages sont développés et intéressants dans un quartier latin blindé de livres et de cinémas. Et les problèmes familiaux ajoutent une dimension au livre avec cette incompréhension entre bourgeois frileux, conservateurs et ouvriers ou petits bourgeois progressistes.
J'ai lu ce livre il y a plus de deux mois, pendant mes révisions. Ceci sera donc un avis très a posteriori. Première constatation, ce livre m'avait beaucoup plu. Je l'avais dévoré ! Deuxième constation, ambiance hyper sympathique avec des personnages très attachants.
Ce livre commence et se termine sur des funérailles, tout est loin d'y être joyeux mais il y règne une atmosphère volontaire, positive. Michel, le héros, est un jeune garçon d'une famille bourgeoise aisée de Paris. Son quotidien est fait de cours au lycée (H IV) où il se régale de littérature et lutte contre les mathématiques. Après les cours, il va jouer au baby dans les cafés du coin. L'un de ses QG est le Balto. Dans ce café du quartier latin, il croise régulièrement Sartre et Kessel. Et puis il y a cette salle accessible par une porte dérobée qui laisse souvent passer des clients, toujours les mêmes. Derrière cette porte, un club d'échecs. Les visiteurs sont majoritairement des émigrés des pays de l'est, bloqués derrière le rideau de fer, qui veulent retrouver la liberté. Chacun a une histoire propre, de lache ou de héros, mais est en France un anonyme sans travail. Outre ces amitiés avec les exilés, Michel est directement engagé dans les questions qui agitent la France des années 60 : son frère et son meilleur ami se sont engagés en Algérie, ses cousins pieds noirs sont obligés de rentrer à Paris. Et bien sûr, c'est l'apprentissage des gouts, des passions, des arts pour un adolescent.Un bon roman dont tous les personnages sont développés et intéressants dans un quartier latin blindé de livres et de cinémas. Et les problèmes familiaux ajoutent une dimension au livre avec cette incompréhension entre bourgeois frileux, conservateurs et ouvriers ou petits bourgeois progressistes.
Ce livre commence et se termine sur des funérailles, tout est loin d'y être joyeux mais il y règne une atmosphère volontaire, positive. Michel, le héros, est un jeune garçon d'une famille bourgeoise aisée de Paris. Son quotidien est fait de cours au lycée (H IV) où il se régale de littérature et lutte contre les mathématiques. Après les cours, il va jouer au baby dans les cafés du coin. L'un de ses QG est le Balto. Dans ce café du quartier latin, il croise régulièrement Sartre et Kessel. Et puis il y a cette salle accessible par une porte dérobée qui laisse souvent passer des clients, toujours les mêmes. Derrière cette porte, un club d'échecs. Les visiteurs sont majoritairement des émigrés des pays de l'est, bloqués derrière le rideau de fer, qui veulent retrouver la liberté. Chacun a une histoire propre, de lache ou de héros, mais est en France un anonyme sans travail. Outre ces amitiés avec les exilés, Michel est directement engagé dans les questions qui agitent la France des années 60 : son frère et son meilleur ami se sont engagés en Algérie, ses cousins pieds noirs sont obligés de rentrer à Paris. Et bien sûr, c'est l'apprentissage des gouts, des passions, des arts pour un adolescent.Un bon roman dont tous les personnages sont développés et intéressants dans un quartier latin blindé de livres et de cinémas. Et les problèmes familiaux ajoutent une dimension au livre avec cette incompréhension entre bourgeois frileux, conservateurs et ouvriers ou petits bourgeois progressistes.