Magazine Culture
Livraddict m’a permis avec ses partenariats de lire le dernier roman de Cyril Massarotto, sorti aux Editions XO, 100 pages blanches (17€90).
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Après Dieu est un pote à moi, Cyril Massarotto nous emmène dans la vie d’un jeune homme dont le grand-père meurt. Celui-ci lui laisse un drôle d’héritage. Pour ses sœurs de l’argent. Beaucoup d’argent. Et pour lui, un simple carnet de 100 pages. Mais 100 pages blanches. Il est plutôt en colère contre ce grand-père qui l’a élevé. Oui ces trois frères et sœurs ont été élevés par leurs grands-parents. Mais quelques jours après avoir récupéré le carnet par le notaire, ce dernier rappel le petit-fils toujours en colère, et lui demande de revenir avec le carnet car il a une lettre à lui remettre, mais seulement « en présence » du carnet. Carnet qu’il a jeté à la poubelle…
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L’histoire n’est pas exceptionnelle, mais ça ne m’a pas empêché de lire ce livre en seulement deux jours. Ceci dit, je soutiens que l’histoire n’est pas bien passionnante. Vers la fin, je trouve qu’il y a peu d’actions. Ou alors tellement attendues que ça les rend lassantes.
Le style n’est pas trop mal. Et la présentation des pages du carnet m’a bien plu. Les pages du carnet sont manuscrites. J’ai trouvé cette présentation assez originale.
Cependant, au-delà de l’histoire qui m’a peu passionnée, je reconnais que ce roman est parsemé de touches d’humour et de quelques moments d’émotions plutôt bien retransmis au lecteur.
Je ne dirai pas que c’est un roman indispensable, mais je ne le déconseille pas non plus. C’est un bon roman détente à la Guillaume Musso ou Marc Levy.
Je pense malgré tout qu’un de ces jours j’achèterai Dieu est un pote à moi !
13/20
Je remercie Livraddict et les Editions XO pour ce roman.