Mon souffle sera l’escarmouche
Des malheur qui na pas de couche
J’écris pour les nuits prochaines
Un poème d’amour et de haine
J’écris pour la vie qui me gangrène
En pensent a toi Philomène
Dont ma santé précaire
Assombrit mes matins de galère
A la sortie de ma nuit qui lancine
J’écris pour la vie qui m’assassine
Sur des silences qui brise le lamento
De mes hémisphère cérébraux
Otangerac 30 :10 :09