Dans un communiqué émanant de Valérie Pécresse, mais adoptant cette fois la casquette de tête de liste UMP pour les régionales, elle s'avoue « profondément émue », et estime que la sécurité dans les établissements scolaires de région parisienne nécessite que l'on « dépasse les clivages politiques ».
À compter de janvier, les 5000 emplois-tremplins pourraient donc devenir des poste de « surveillants-tuteurs », attendu qu'aucune affectation n'a pour le moment été donnée.
« Alors que l'Éducation nationale a recruté de son côté 3.800 médiateurs de la vie scolaire cette année et sans attendre les échéances électorales à venir, la région Île-de-France pourrait ainsi, dans le cadre de ses compétences, renforcer l'encadrement dans les lycées », ajoute Valérie.
Leur fonction dans les lycées serait « d'encadrer et de conseiller les lycéens dont les difficultés de comportement sont connues et repérées ». Belle idée...