Ce dernier, président sortant socialiste de la région Ile de France, trouve généreux et honorable de stigmatisé la "vulgarité", et du sarkozysme, et de sa rivale Valérie Pécresse. Le site "les Indiscrets" fait remarquer que la candidate UMP est "prête à tout" (à vraiment tout ? non ! ne ressortez pas les maillots de bains de Valérie Pécresse dans Voici, merci !) pour ravir la présidence de l'Ile de France.
Et quelque part, on pourrait faire un "mmmm" en préférant refermer la porte, et ne pas prendre part à un débat qui se passe à Paris... Surtout quand on est du Languedoc, et qu'on a un Georges Frêche comme président (qui n'en loupe jamais une question vulgarité...)
Et puis on continue de lire le papier qui cite les mots du bon Huchon. "La vulgarité, c'est une absence de culture et au fond des jugements à l'emporte-pièces. Si j'ai bien compris les goûts culturels de Nicolas Sarkozy, je pense que Carla Bruni lui a fait beaucoup de bien. Elle est un plus ouvert à des auteurs plus difficiles. Didier Barbelivien n'est peut-être pas une référence"
Si je me suis toujours senti assez éloigné de la gauche politique, c'est que je ne supporte pas son mépris insupportable. Qui considère, entre autre, que la seule bonne culture, c'est "sa" culture. On raille le coté people d'un Sarkozy supporté par Bigard et Halliday, et on se loue qu'Anne Hidalgo lance sa campagne entourée d'Alain Chamfort ou Jean-Michel Ribes.
Que le meilleurs gagne en Ile de France... Mais il ne faudrait pas que cette suffisance insupportable fasse perdre la tête à la gauche francilienne quand même. Personnellement, ça ne me dérangerait pas que l'huile du Sarkozysme parisien prenne une rouste. Mais je ne reprendrai peut être pas de deuxième part du dessert si cette gauche insupportable qui l'emporte...
L'humilité... ce n'est jamais un défaut en politique, l'humilité...