Si le web a changé plus d'une chose dans notre environnement pro et perso, il a aussi bouleversé certains codes. Et notamment l'écriture. Et oui, on n'écrit pas de la même façon pour du print et pour du web. La preuve dans cette présentation d'enseignements... Le passage sur la titraille (à partir de la slide 83) m'a particulièrement intéressé et refait pensé à une conversation que j'ai récemment eue avec un journaliste, qui écrit autant pour le papier que le web. Désormais, l'originalité et le second degré ne sont plus de mise pour les titres. Et oui, Dieu Google n'a pas beaucoup d'humour et du coup, les journalistes (parce qu'eux aussi croient à ce même Dieu) voient leur créativité bridée : pour qu'un article soit bien référencé, il faut que le titre soit explicite et utilise des mots-clés susceptibles d'être tapé dans le moteur de recherche. Fini donc la "Mort du chanteur d'Oasis" (non justement, pas Liam Gallagher mais Carlos!) et autres "Ce n'est pas drôle d'être gay"!
Dieu Google aurait-il tué l'art de l'écriture ? That is the question.