Merz avait dit, fier et droit comme un cure-dents, qu’il perdrait la face si les otages ne revenaient pas de Libye … dans un certain délai.
Cette belle affirmation date de 2009, très nettement. On ne sait trop si notre distingué diplomate d’opérette a vu passer l’an neuf.
Mais ce qu’on peut dire, c’est que la farce ressemble de plus en plus à l’Arlésienne et que la tronche de l’intéressé tombe, elle, pile-poil dans le grand bêtisier helvétique 2009.