par Seumas Milne*
Le Guardian vient de publier un éditorial de son rédacteur en chef adjoint, Seumas Milne, s’interrogeant sur le non-traitement par la presse occidentale de la répression dont ont été victimes des manifestants occidentaux accompagnant des députés britanniques et turcs. Alors que cet événement a fait les gros titres de la presse dans d’autres régions du monde, les médias occidentaux se sont collectivement auto-censurés. Qu’est ce qui fait peur aux moutons de Panurge ?
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*Journaliste britannique, rédacteur en chef associé du Guardian. Il est l’auteur de The Enemy within : MI5, Maxwell and the Scargill Affair et de The Enemy within : Thatcher’s Secret War Against the Miners.
Article paru aussi sur le site de Sylvia Cattori et titré « Le terrorisme est le prix à payer pour le soutien aux despotes et aux dictateurs »
ISRAEL SE PREPARE A ENVAHIR ET REOCCUPER TOUTE LA BANDE DE GAZA
Le jeudi 7, des avions israéliens ont largué des milliers de tracts sur le nord de Gaza et la ville de Gaza, mettant en garde un grand nombre des 1,5 millions d'habitants de se tenir loin de la frontière à forte densité conquis, après les mortiers et les roquettes ont été tirées sur Israël.
Les tracts, rédigés en arabe, avec un plan de la bande de Gaza, avertit que quiconque au sein de 300m de la frontière »sera en danger"
Source Solidarity Palestinian resistance
Plus de convois humanitaires à Gaza, annonce Mubarak
Abou Gheith a déclaré hier à Washington, que les nouvelles restrictions vont obliger les convois humanitaires de céder leurs cargaisons à la Croix-Rouge égyptienne qui seront données au croissant rouge palestinien pour les distribuer aux habitants de la Bande de Gaza.
S’en prenant aux membres du convoi international Viva Palestina, il les a accusés d’avoir endommagé le port d’Al-Arish.
Déclarations destinées à camoufler la colère des hommes libres au monde entier, après les agressions contre 55 membres du convoi de Galloway, dont 5 sont encore dans un état grave.
Par ailleurs, la version officielle concernant la mort d’un soldat égyptien à Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza, est de plus contestée. Le soldat a été touché par deux balles dans le dos, alors qu’il observait des manifestations populaires sur les frontières, le dos vers le côté égyptien. Les balles sont donc venues du côté égyptien et non du côté de la bande de Gaza, estiment plusieurs observateurs.
Source : CPI (Centre d’Information Palestinien)
CAPJPO-EuroPalestine