Dans le personnage principal de Tom est mort de Marie Darrieussecq, Camille Laurens y retrouvait, un peu trop à son goût, des éléments de son Philippe. Laurens accuse Darrieussecq de plagiat.
La nouvelle année commencent à peine que les romancières remettent l'affaire sur le tapis, chacune dans un livre personnel, à leur manière mais en même temps. Accusée deux fois de plagiat, (Marie N'Diaye l'avait également accusée à la fin des années 90) Marie Darrieussecq publie un long essai sobrement intitulé Rapport de police. Accusations de plagiat et autres modes de surveillance de la fiction.