Mais quelle mouche l’a-t-il piqué ? Pas la mouche tsé-tsé en tout cas. Car Fabrice Santoro, qui vient d’annoncer sortir de sa retraite annoncée il y a deux mois pour aller jouer l’Open d’Australie, se dit “en forme”.
Alors quoi ? Qu’est-ce qu’il veut prouver Fabulous Fab ? Qu’il joue encore bien au tennis ? On s’en douterait. Le pognon, travailler plus pour gagner plus ? Ben, à moins d’avoir placé ses éconocroques chez Madoff, il doit quand même avoir de quoi acheter sa carte orange après quelques millions de dollars et d’euros récoltés en vingt ans de carrière.
Je cherche, je cherche. Il a croisé Agassi à Paris et lui a emprunté une fiole de substances bizarres qui lui troublent les enzymes du cerveau ?
Non. C’est plus simple à mon avis. Il s’est emmerdé à mourir depuis Bercy où il avait fait ses “adieux”. Faut dire que les programmes télé étaient pas terribles pendant les fêtes et que le temps est plutôt frisquet sur l’hexagone. Alors hop, il a repris le sac de raquettes dans le placard, pris son billet pour les 30 degrés de Melbourne et foutu sa bagnole au garage. Et puis quand on est un “magicien” comme lui, on peut facilement escamoter une retraite.
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