“Chaque fois que la vie remue, la chaîne grince et la mort fait que tout se fane - et cela arrive à chaque minute.”
Solitude de l'homme qui chemine le long du vallon de la mort, dans les régions arides : Il secoue ses feux dans l'air épais, Regard plongé dans l'abîme.
J'ajoute ici le lien direct vers le blog de Bernie Mes vidéos délirantes et de voyages… Cliquez là jeansol.unblog.fr
De l'angoisse à l'errance : la mélancolie comme lieu de l'enfer
Le lieu de l'enfer est à l'intime d'eux-mêmes : la souffrance mélancolique a donc un trait propre d'intériorité, une profondeur particulière, quelque chose que rien ne protège. En effet, le mélancolique ressent tout évènement comme douloureux, la vie elle-même lui devient une souffrance. Et celle-ci se manifeste de façon si aigüe qu'elle prend une tournure infernale :
“Je suis au cachot noir, et là je rampe dans la douleur et les tourments, sans rien voir, sans issue.”
Titre de cette vidéo : “Poser un lapin à l'amour”…
Coucou, musique te revoiloù, en passant par là où la censure n'a pas encore frappée !