Le visiteur pourra observer des fragments des manuscrits âgés de 2000 ans mais aussi se replonger dans la richesse des recherches archéologiques, leur histoire et leur influence sur l’imaginaire scientifique et populaire de notre temps.
Nous évoquions hier sur Actualitté une affaire cocasse qui liait le Canada et la Jordanie. Si la matière de cette exposition provient de la même collection de manuscrits (prêtés par Israël) et qui ont fait tapage, espérons que la Jordanie ne réitèrera pas ses assauts contre Paris. Nous ne sommes pas parvenus à joindre la BnF à ce sujet...