Les informations disponibles « peuvent ne pas faire autorité ni être exactes et dans certains cas s'avérer fausses », précise le guide à destination des parents, élèves et enseignants. Et à l'attention de ces derniers, il précise même que l'introduction de termes américains dans un devoir peut tout à fait être le signe manifeste d'un pur et simple plagiat. Les étudiants anglais plus à même de télécharger des éléments piochés sur des études américaines se feraient ainsi pincer.
Le principe du copier-coller ferait rage plus encore outre-Manche que sous nos latitudes ? Probablement pas, mais la quantité de documents disponibles pour alimenter les copies d'élèves en mal d'inspiration se trouve sur la toile plus aisément.
Le guide pointe par exemple des cas où dans un texte présenté par l'élève, la police de caractères se modifiait parfois, de même que la mise en page ou l'espacement entre les lignes, démontrant clairement qu'il s'agissait là d'un copier-coller flagrant, et même pas formaté.
Il invite enfin les parents à discuter avec leur progéniture, non pas en donnant des conseils directs sur ce qu'ils doivent ou non faire, mais plutôt en les orientant dans leurs études et leurs recherches.