En fait, la planète Kakie ne mérite pas notre meilleur avion du monde et il ne reste plus à Sarkozy que d’attaquer le marché du Vatican ou des Barbades pour espérer enfin vendre ce Rafale si cher au contribuable français. Cet avion qui coûte presque 100 millions d’euros l’unité avait pourtant été proposé par le président français aux brésiliens avec un rabais de 50% et pourtant l’armée de Lula serait manifestement sur le point de lui préférer un chasseur suédois qui n’existe même pas encore. C’est à n’y rien comprendre !
Comme le disait hier au Figaro de Dassault le ministre Hervé Morin à propos de l’Airbus A 400 M en cours de certification mais au centre d’une crise sans nom à propos de son financement, « Il faut voir ce qui fait partie du jeu de rôle et de la négociation ». Je suggère donc au même Morin de prendre la suite de Sarkozy pour fourguer le Rafale aux brésiliens car un chef d’escadrille comme celui-là, il serait capable, à coup sûr, de vendre de la neige aux suédois.
Lyon, le 7 janvier 2010