En effet, alors que la firme américaine capte l'attention globale, et notamment des sites culturels et de presse, on proposerait en contrepartie de l'utilisation de leurs contenus respectifs de ponctionner les pubs. D'où le nom fort à propos désigné par Jacques Toubon de « taxe Google ». Un procédé qui s'inscrirait dans le cadre d'un « prélèvement obligatoire » et qui « serait compatible avec le droit communautaire », ajoute-t-on.
Cependant, pour le mettre en place, il conviendrait que la France reçoive « le soutien des principaux partenaires européens ». Et parmi les autres sociétés visées par la taxe à laquelle on fixerait un seuil malgré tout, le rapport propose « Google, Microsoft, AOL, Yahoo! et Facebook ».
La musique, de son côté, a reçu un petit coup de pouce privilégié, puisque le rapport propose en effet de revoir « à la baisse », précise l'AFP, le taux réduit de TVA dont les offres triple-play d'internet bénéficient.