Le soja est originaire d’Asie, mais aujourd’hui, un groupe économique d’une puissance financière inimaginable, la firme Monsanto (USA), fournit en semences transgéniques les agriculteurs américains et sud-américains, premiers producteurs de soja dans le monde avec près de 93% de la production mondiale.
Cultivé aux USA et en Amérique Latine (Brésil, Argentine) en large majorité, ce soja finit dans les farines alimentaires que l’on donne au bétail Européen, lequel fournit le lait, lequel entre dans la composition de tous les produits laitiers commercialisés et transformés en beure, en yaourt, en fromage, en chocolat, jusqu’au parmesan italien, le jambon de Parme et d’ailleurs, enfin, dans tout ce qui peut se manger, on trouve des traces de soja transgénique et des pesticides qui ont contribué à son développement, sans que vous le sachiez.
Si vous croyez boire sain avec un litre de lait de soja acheté dans le commerce, et bien, sans le savoir, vous buvez du soja transgénique, soja transgénique se trouvant également dans nombre d’autres produits alimentaires.
Les plantations de soja transgénique contre lesquelles José Bové s’est battu en France passe les frontières depuis de nombreuses années d’une façon tout à fait légale, et vient empoissonner les européens sans que l’on puisse rien faire.
Les accords de libre échange avec les Amériques ne nous permettent pas de faire machine arrière et le soja est vendu pour l’alimentation animale exclusivement, mais qui mange les ovins, caprins et bovins ?
Et que mange ce bétail ? Du soja transgénique bourré aux pesticides.
D’autres parts, les études sur le soja transgéniques sont soumises à tellement de vérité gênantes et de contre vérités, que personne ne prend le taureau par les cornes pour décider de ne plus importer ces farines diaboliques, mais ne plus les importer, c’est détruire peu à peu le tissu économique européen, puisque tout est lié.
Depuis plus de 50 ans, Monsanto développe une stratégie imparable à coups de milliards de dollars, un investissement largement amorti par des bénéfices tout aussi importants. Pourtant, ces investissements se font au dépens de la santé humaine (rien n’est prouvé officiellement, mais de forts soupçons demeurent) et de la terre. Car en effet, l’exploitation du soja qui est une plante qui va chercher les ressources de la terre en profondeur se fait à outrance et au détriment de celle-ci.
Les conséquences se font rapidement sentir dès la troisième année d’exploitation, plus rien ne pousse sur les sols exploités, sans compter l’utilisation à outrance des pesticides qui n’arrange rien au problème déjà existant de destruction des sols. C’est pourquoi, le plus souvent, comme c’est le cas en Argentine, les terres sont louées, puis rendues stériles au propriétaire, la bonne affaire.
Savez-vous pourquoi l'Irak est un désert ? Parce que les Summériens pendant 3 000 ans ont surexploité les sols jusqu'à les apauvrir au point de faire de cette terre magnifique, une zone désertique.
Allons-nous laisser les Lobbys détruire notre terre ?
De son côté, l’agriculture biologique tente de palier à ce type d’exploitation en proposant des produits alimentaires sans traitement chimique, afin de permettre au corps humain de se nourrir et non pas de se polluer le système immunitaire par des pesticides et des molécules transgéniques qui vont corrompre peu à peu son équilibre.
Alors, il est vrai que le rendement d’une culture transgénique est de 30% supérieur à la normale, mais à quel prix ? Appauvrissement des sols, pollutions des sols et des personnes, éradication des autres cultures…
Doit-on prendre le risque de polluer nos corps pour une vulgaire affaire de bénéfice ?
Que Monsanto tente de développer le soja et la céréale transgénique du futur est une chose, mais à la seule condition que celle-ci ne mette pas en danger la santé humaine, est-ce seulement possible au regard des enquêtes menées jusqu’à présent ?
L’objet de cet article est de mettre en garde le lecteur sur ce qu’il consomme sans le savoir, mon opinion personnelle et je la partage, serait de fuir la consommation d’alimentation comprenant des molécules génétiquement modifiées, mais comment peut-on sciemment échapper à cela, si nous ne sommes même pas informé sur la provenance de l’alimentation qui a été donnée à la vache dont on boit le lait, au poulet dont on mange la viande ?
Il paraît évident que nous sommes dupés par les lobbys qui se moquent ouvertement de nous et qui travaillent peut-être avec les lobbys pharmaceutiques qui produiront les médicaments nécessaires à soigner les pathologies consécutives à ce type d’alimentation sur le corps humain à plus ou moins long terme.
Nous devons rester conscients, le corps est un univers très sensible à ce qu’il ingurgite, donnez un verre de schnaps à un individu n’ayant jamais bu d’alcool et voyez le résultat, son corps réagi aussitôt, son foie s’affole, ses sens ne répondent plus, l’individu s’effondre. Ne croyez pas que, parce que l’on ne sent rien en ingurgitant du soja transgénique, il ne se passe rien, il se passe toujours quelque chose, c’est comme le cancer, on ne le voit pas venir, il se développe à notre insu.
À présent, on utilise ce même soja en fibre textile et des grandes marques sportives, fabriquent désormais des vêtements en « fibre protéinique », le transgénique atteindra peut-être également votre garde robe, mais les tests de kinésiologie risquent de ne pas être en parfait accord avec ce vêtement, car le synthétique a également un impact sur le corps et sa santé.
Plus on avance dans le monde moderne, plus on se persuade que les avancées technologiques sont forcément bénéfiques pour les êtres humains, et bien, peut-être pas, peut-être sont-elles bonnes pour l’avancée et le génie déployé, et peut-être ne le sont-elles pas pour la santé tout simplement.
Nous devons observer des principes de précautions et bien séparer la culture d’une céréale de son rendement, si cette donnée entre en considération, on peut-être certain qu’elle sera celle qui prime avant le reste, Monsanto ne s’est jamais distingué pour son altruisme et sa logique est celle du profit, du profit avant tout, qu’importe les conséquences sur la santé humaine, les hommes seront morts depuis longtemps et Monsanto continuera à produire, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’hommes...
Nous vivons une époque formidable…