Changer de président-dictateur pour un autre président-despote ne veut pas forcément dire changer dans le bon sens. Même si le culte de la personnalité du dirigeant s'est un peu calmé, la corruption, les droits humains bafoués, la pollution sont toujours quotidiens au Turkménistan. Ce qui semble bon pour les affaires, les réserves gazières gigantesques attirant nombres de multinationales sur place, l'exploitation des gisements n'étant, et de loin, pas encore arrivée à son point culminant.