Un entretien de recrutement, c'est parfois un vrai parcours du combattant pour le candidat. Pour preuve, l'exemple cité dans le bétisier 2009 de Cadremploi, qu'on ne résiste pas à vous transmettre :
La garde à vue
Pierre n'en revient toujours pas. « C'était en septembre. J'avais rendez-vous pour un entretien à 14 heures à La Défense. Petit calcul rapide dans ma tête : une heure maxi et c'est fini. Raté. A 20 heures, j'étais toujours dans ma tour. Ils m'ont tout fait : l'entretien classique avec la DRH, le test psycho, le débrief avec le psy, la grapho, un deuxième entretien avec un consultant et un troisième, avec l'opérationnel. En sortant, vers 21 heures, j'avais des messages affolés de ma femme qui avait fait le tour des hôpitaux parisiens, persuadée que j'avais eu un accident. » Pierre n'a pas été embauché.
D'autres exemples et d'autres billets rédigés par la pétillante journaliste Sylvia Di Pasquale pour Cadremploi.