Or donc voilà, à Copenhague, il l'a dit le président des États-Unis. Barack Obama veut un accord !
C'est une bonne nouvelle, non ?
Sauf que, monsieur "Yes We Can" se contenterait d'un accord même "imparfait".
Imparfait ?
Pardonnez-moi, mais je trouve que l'imparfait se conjugue mal avec notre futur ...