L'islam et le Coran
La condition féminine fait partie des plus grands scandales générés par le Coran. La hiérarchie entre femmes et hommes doit obéir à la règle machiste fort répandue (II, 228) : "Les maris sont supérieurs à leurs femmes". La femme idéale est plus proche de l'esclave soumis que d'une personne apte à décider de sa vie (IV, 38) : "Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises." Ou encore, sur la servitude à laquelle la femme est assignée (VII, 188) : "C'est lui qui vous a créés tous d'un seul homme, qui en a produit son épouse afin qu'il habitât avec elle, elle porta d'abord un fardeau léger et marchait sans peine."
La femme est une possession du mâle dont il peut disposer comme bon lui semble, tant en ce qui concerne l'épouse (II, 223) : "Les femmes sont votre champ. Cultivez-le de la manière que vous l'entendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété.", que les filles (II, 220) : "Ne donnez point vos filles aux idolâtres tant qu'ils n'auront pas cru." Et comme tout bien de consommation est jeté lorsqu'il n'a plus les faveurs de l'utilisateur, la femme peut être répudiée avec facilité et la procédure est précisée en (II, 229 à 233) et (LXV, 1 à 4). Le mépris dans lequel sont tenues les femmes, éclate dans l'équivalence "1 homme = 2 femmes" lors de la recherche de témoins dans le règlement d'un litige (II, 282) : "Appelez deux témoins choisis parmi vous; si vous ne trouvez pas deux hommes, appelez-en un seul et deux femmes parmi les personnes habiles à témoigner; afin que, si l'une oublie, l'autre puisse rappeler le fait." Cette même inégalité de traitement prévaut aussi dans les droits de succession (IV, 12) : "Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles; s'il n'y a que des filles, et qu'elles soient plus de deux, elles auront les deux tiers de la succession; s'il n'y en a qu'une seule, elle recevra la moitié." ; voir aussi (IV, 175). La primauté de l'homme provient de son apparition première (III, 193) : "Les femmes sont issues des hommes.", et (IV, 1) : "O hommes! craignez votre seigneur qui vous a créés tous d'un seul homme; de l'homme il forma sa compagne.". La polygamie est officiellement acceptée en (IV, 3) : "Si vous craignez d'être injustes envers les orphelins, n'épousez que peu de femmes, deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu.", et Mahomet montre l'exemple (XXXIII, 6) : "Le prophète aime les croyants plus qu'ils ne s'aiment eux-mêmes; ses femmes sont leurs mères." et (XXXIII, 27) ainsi que (XXXIII, 47) : "O prophète! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui livrera son cœur au Prophète, si le Prophète veut l'épouser.".
Le machisme musulman ne se limite pas à établir une supériorité homme - femme mais prévoit aussi la réprimande violente et l'exprime avec la plus grande clarté (IV, 38) : "Vous [les hommes] réprimanderez celles dont vous avez à craindre l'inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand." Le Coran montre ici son vrai visage de religion rétrograde et agressive, qui ne survit que par la terreur qu'il inspire aux unes et par l'attribution d'une supériorité factice à des hommes dépourvus de raison. De même en (IV, 19) : "Si vos femmes commettent l'action infâme (l'adultère), appelez quatre témoins. Si leurs témoignages se réunissent contre elles, enfermez-les dans des maisons jusqu'à ce que la mort les visite ou que Dieu leur procure un moyen de salut.". La mort pour les femmes adultères, seul remède pour un islam brutal qui, par contre, n'envisage pas le cas de l'homme adultère. Autre exemple d'infidélité conjugale à la charge des épouses en (LXVI, 10), avec toujours la mort comme issue pour une religion de la domination masculine. Appeler à la mort de l'autre, de celui qui est différent, n'est pas la marque d'une réflexion particulièrement élaborée comme voudraient nous en persuader les théologiens.
La psychose musulmane sur la nocivité de toute forme de coquetterie féminine trouve son origine en (XXIV, 31) et a, depuis, donné lieu à une généralisation délirante. Le point culminant en est le port du voile, prescrit dans le cas d'une conversation avec les femmes de Mahomet (XXXIII, 51) : "Si vous avez quelque demande à faire à ses femmes, faites-la à travers un voile; c'est ainsi que vos cœurs et les leurs se conserveront en pureté." De même en (XXXIII, 57) : "O prophète! prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, d'abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes." Remarquer que le port du voile par les hommes aurait le même effet "protecteur", mais cette suggestion n'est probablement que blasphème. La femme soumise et devant fuir les regards masculins n'a pas à espérer d'émancipation au paradis (XXXVII, 52) : "Auprès d'eux [les justes au paradis] seront des femmes au regard modeste, et leurs égales en âge." Enfin, les femmes ne sont qu'une marchandise dont la valeur dépend de leur soumission à l'islam (LX, 10).
Le Coran réduit donc la femme au rang de spectatrice et domestique de l'homme. Elle peut être échangée ou rejetée comme pour tout produit de consommation courante; elle est à la charge du mari au même titre que le bétail. Le maître peut disposer d'elle comme il l'entend et user de la force à son encontre. L'adultère semble être une exclusivité féminine, le mâle n'étant pas redevable envers son sujet. Parler ici de misogynie est trop faible pour exprimer le mépris et la soumission dont les femmes sont l'objet. On ne peut que constater que le monde musulman actuel est resté fidèle à ces préceptes préhistoriques. L'Iran l'a rappelé en 1995 à la conférence de Pékin sur la condition féminine (même attitude inacceptable de la part du Vatican). Le port du voile, commandé par le Coran, est adopté à des degrés divers: foulard qui se limite à la couverture de la chevelure, tissu qui ne laisse que les yeux comme unique appel au secours, grilles infligées par les Talibans, ou encore couverture complète du visage. Officiellement un rempart contre les regards masculins déplacés, ce voile protège plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au silence la moitié de leur population.
Islam : religion fondée par Mahomet (début du VIIe siècle) qui se veut à la fois religion, mode et système de gouvernement et règle de la vie quotidienne. Son fondement est le Coran, livre saint et parole de Dieu révélée à Mahomet, et la Sunna, enseignement et vie du prophète, qui contiennent des éléments de la tradition judéo-chrétienne.
Les cinq piliers de l'Islam sont :
Une définition de l'islam- La profession de foi : croyance en Allah, dieu unique et créateur et en Mahomet, son prophète.
- La prière canonique, cinq fois par jour et à heure fixe.
- Le jeûne de 29 jours pour commémorer le mois du Ramadan au cours duquel fut révélé le Coran.
- L'aumône, devenu une «dîme» légale au profit des pauvres.
- Le pèlerinage à la Mecque (hajj), au moins une fois dans sa vie.
Le croyant doit se référer au Coran, adhérer sincèrement à l'Islam, avoir une confiance absolue en Dieu, s'abandonner intégralement à lui et rechercher inlassablement la perfection de son comportement. La loi canonique de l'islam est contenue dans la charia.
L'islam ne se considère pas comme une religion nouvelle. En effet, elle rétablit la révélation que Dieu avait jadis faite aux prophètes, notamment, le retour de Jésus (reconnu comme prophète) à la fin des temps et son rôle de sauveur au côté de Mohammed.
Il n'y a pas de prêtres, mais des oulémas jurisconsultes, et des imams qui dirigent la prière.
Certains des principes fondamentaux sur lesquels l'Etat islamique doit se référer, sont défini dans le Coran et la Sunna (la Djihad, "guerre sainte" en fait partie), mais sans qu'ils ne prescrivent une forme spéciale de gouvernement.
Les conquêtes arabes ont permis à l'islam de se répandre dans le monde entier. Aujourd'hui, un cinquième des musulmans est de langue arabe; la majorité réside en Indonésie, Pakistan, Inde, Bangladesh, Turquie, Iran, Egypte et Nigeria. Ils se répartissent en deux grands courants principaux : le sunnisme (84%) et le chiisme (15%). Un troisème courant constitué par les Kharédjites représente 1% (Oman, Djerba, Afrique du Nord...). Il se caractérise par une forme de démocratie dans le choix de leurs chefs spirituels ou imâms.
Djihad
Le djihad est "l’effort" individuel que chaque musulman doit réaliser pour son perfectionnement spirituel et pour que la volonté d'Allah soit respecter sur Terre. Dans la pratique, il s’agit surtout de l’effort collectif, militaire, nécessaire pour défendre l’Islam ou étendre par la force les territoires sous son emprise. Le djihad prend alors un sens proche de "Guerre Sainte".
En savoir plus : Dictionnaire + : Djihad
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Charia (sharia ou Chari'a)
La charia est la loi canonique de l'islam, "fil conducteur dans la vie". Elle contient les prescriptions relatives à presque tous les aspects de la vie humaine, que ce soit la vie religieuse, politique, sociale ou privée. Son but est d'organiser la vie pour qu'elle soit la plus vertueuse et utile possible et de préparer les musulmans à leur salut. Les prescriptions sont classées en cinq catégories : ce qui est obligatoire, recommandé, indifférent ou licite, blâmable, interdit.
La charia est basée sur le Coran, la tradition (sunna), les déductions par analogie (qiyas) des théologiens-juristes pour ce qui n'était pas traité du temps de Mahomet et le consensus (idjmaa) établi au sein de la communauté. La charia s'applique intégralement ou partiellement dans certains pays islamiques (Iran, Soudan, Arabie Saoudite, Nigéria, etc.).
Au sujet de la violence dans les hadithsQuelques exemples :
- Que la malédiction d’Allah soit sur le voleur qui a volé un œuf et que sa main soit coupée, ainsi que sur celui qui vole une corde et que sa main soit coupée." (récit d’Abu Huraira, Muslim XVII 4185)
"L’envoyé d’Allah a dit :
- Quand un homme célibataire commet l’adultère avec une femme célibataire, ils recevront cent coups de fouet et seront bannis un an. Dans le cas où ils sont mariés, il recevront cent coups de fouet et seront lapidés à mort." (récit de Ubada b. as Samit, Muslim XVII 4191)
"Celui qui quitte la religion de l’islam, tuez-le." (récit d’Ikrima, Bukhari LXXXIV 57)
"Le messager d’Allah a dit :
- J’ai été désigné pour combattre contre les hommes aussi longtemps qu’ils ne disent pas : il n’y a de dieu qu’Allah." (récit d’Abu Huraira, Muslim I 29)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- Sache que le paradis est à l’ombre des épées." (récit d’Abdullah bin Abi Aufa, Bukhari LII 73)
"Le Prophète a dit :
- J’ai regardé le paradis et j’ai trouvé que les pauvres gens formaient la majorité des habitants; j’ai regardé en enfer et j’ai vu que la majorité des habitants étaient des femmes." (récit d’Imran bin Husain, Bukhari LIV 464)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- S’il y a un signe maléfique quelque part, c’est dans la femme, le cheval ou la maison." (récit de Sahl bin Sad Saidi, Bukhari LII 111)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- Aucun musulman ne mourra sans qu’Allah n’admette à sa place un juif ou un chrétien dans le feu de l’enfer." (récit d’Abu Burda, Muslim XXXVII 6666)
"Khadija est morte trois ans avant que le Prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aisha qui était une fillette de six ans; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage." (récit du père de Hisham, Bukhari LVIII 236)
"Mon oncle a présenté à l’apôtre d’Allah le cas d’une personne qui pensait avoir lâché un pet durant la prière. L’apôtre d’Allah a répondu :
- Il ne doit pas abandonner la prière, à moins qu’il n’entende un bruit ou qu’il sente quelque chose." (récit d’Abbas bin Tamin, Bukhari IV 139)
"On a dit à Salman :
- Votre Prophète vous a tout appris, même en ce qui concerne les excréments.
Il répondit :
- Oui. Il nous a interdit de faire face à la qiblah au moment de déféquer ou d’uriner et de nous nettoyer avec la main droite, avec moins de trois pierres ou avec du crottin ou un os." (récit de Salman al Farsi, Dawud I 7)
"Um Sulaim, femme d’Abu Talha est venue voir l’apôtre d’Allah et a dit :
- Apôtre d’Allah ! En vérité Allah n’est pas honteux de te dire la vérité. Est-il nécessaire pour une femme de prendre un bain après qu’elle ait eu un rêve humide ?
L’apôtre d’Allah répondit :
- Oui, si elle a remarqué un afflux de sécrétion." (récit d’Um Salama, Bukhari V 280)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- [... ] Celui qui se réveille de son sommeil doit laver ses mains avant de les mettre dans l’eau pour les ablutions, parce que personne ne sait ce que ses mains ont fait pendant le sommeil." (récit d’Abu Huraira, Bukhari IV 163)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- Celui qui garantit (la chasteté de) ce qui est entre ses mâchoires et entre ses jambes (c’est-à-dire la langue et les parties intimes), je lui garantis le paradis." (récit de Sahl bin Sa’d, Bukhari LXXVI 481)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- Il y a de la souillure sexuelle sous chaque poil donc lavez les poils et nettoyez la peau." (récit d’Abu Hurayrah, Dawud I 248)
"Le Prophète a dit :
- Bailler vient de Satan et si quelqu’un baille, il doit contrôler le plus possible son bâillement parce que s’il fait "ha" alors Satan se moquera de lui." (récit d’Abu Huraira, Bukhari LIV 509)
"Le Prophète est sorti avec les gens pour invoquer Allah afin que la pluie vienne. Il se leva, invoqua Allah pour la pluie, se tourna vers la qibla, retourna sa cape et il plut." (récit d’Abas bin Tamim, Bukhari XVII 135)
"L’Uqba bin Al-Harith a dit :
- An Numan ou son fils a été amené devant le Prophète accusé d’ivrognerie. Alors le Prophète ordonna à tous les hommes présents dans la maison de le battre. Ils l’ont tous battu et j’ai été un de ceux qui l’ont battu à coups de chaussures." (récit d’Uqba bin Al Harith, Bukhari LXXXI 765)
"L’apôtre d’Allah a dit :
- Celui qui joue aux échecs est comme celui qui teint sa main avec de la viande et du sang de porc." (récit de Buraida, Muslim XXVIII 5612)
Abderrahim
posté le 02 janvier à 15:12
pour la gloire du royaume des Francs et de charlemagne chassons les sales Sarrasins d' Europe !!!!!
posté le 14 juin à 12:23
"Les femmes sont issues des hommes."
C'est marrant, la biologie et la génétique disent le contraire : le sexe féminin est le premier sexe, le mâle est un dérivé de la femelle (dont elle se passe bien chez certaines espèces). Quant à en conclure que dieu n'a aucune notion de génétique et de biologie, il n'y a qu'un pas. Le comble pour un dieu qui est censé avoir créé l'Homme. Il devrait savoir tout ça. Enfin c'est bien des conneries de mecs frustrés tout ça.