On apprend avec délices mais sans orgues ni surprises que l’année commence en fanfare pour les banquiers helvètes, ces escrocs de grand chemin qui se déguisent en respectables pasteurs.
24 milliards, pour une gigantesque combine visant à plumer d’autres riches, voilà qui devrait un peu rabattre le caquet du CS qui capitalise sur le gangstérisme de l’UBS, son plus proche rival, toujours en pleine cacade.
Merz va peut-être encore vouloir agiter son gousset sous prétexte de nation en danger ou parce que ça fait mauvais genre. Et dire que le volet fiscal US concernant le CS n’a pas encore sauté.
Champagne !!!, encore une tournée, même si on en a un peu trop pris ces derniers jours …