Les résultats d'une recherche publiée originellement dans le Journal of Sexual Medicine réalisée par Tim Spector et Andrea Burri, chercheurs du King’s College de Londres remet actuellement en cause l'existence d'un point G chez la femme, zone érogène par excellence qui, par sa stimulation, provoquerait un orgasme.
(Sources : Agoravox -merci à Dj. qui m'a donné l'informatin !, rtl.be qui propose même de donner son avis sur la question)
Ce point G, du nom de son inventeur, Ernest Gräfenberg, fait couler beaucoup d'encre, de salive et de cyprine depuis 1950. Des études (fort partielles bien souvent) ont été menées pour confirmer ou infirmer cette découverte, passant pour une vérité ou un mythe au gré de tout un chacun. Car le point G, hélas, ne se fait pas connaître à toutes et relève d'une découverte personnelle ou à deux parfois laborieuse, parfois heureuse (et on ne sait parfois pas comment, subitement, on a déclenché un orgasme par l'excitation d'une zone qui oui... peut-être bien... est celle du point G), parfois têtue, parfois déçue. Ce qui est possible doit-il être considéré comme une vérité anatomique ? Le point G n'est-il pas finalement que la projection interne du clitoris ? Le point G est-il un leurre ?
Les discussions sur wikipédia autour de ce point G montrent les avis tranchés des partisans ou détracteurs du point G. Mais allez dire à une femme qui en sent les effets qu'elle se tromperait. Que vous répondrait-elle ? Qu'elle en a la preuve puisqu'elle connaît son emplacement et qu'elle en jouit. Et n'est-ce pas le plus important ?
A consulter :
sur gyneweb "Controverse sur le point G" du Docteur J-M Brideron, gynécologue-obstétricien, dossier auquel j'emprunte aussi un schéma.
Osez... découvrir le point G, Ovidie, éd. La Musardine
Les continents féminins, Alain Héril (roman qui narre la rencontre de femmes qui ont exploré leur intimité. Point G et éjaculation féminine.)
Jeu de briques
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