Voir la polémique naitre aujourd’hui dans la presse à propos de la gestion dramatique de l’épidémie par le gouvernement est non seulement pathétique mais sent l’arnaque manipulatrice à plein nez.
Quand pendant des mois, on a vu la presse (qui ment) comme un seul homme, servir la propagande gouvernementale en apeurant la population et en relayant la stratégie inique du gouvernement, on se dit que le retournement de veste auquel nous sommes en train d’assister ne peut sentir l’honnêteté intellectuelle.
Tous le monde sait depuis de nombreux mois que l’achat de 94 millions de dose de vaccins était d’une bêtise consommée, tout le monde a assisté béatement depuis des mois à la mise en place d’une stratégie d’urgence qui a squeezé les médecins traitants (qui comme chacun sait ne vaccinent jamais !) qui pourtant étaient les seuls à pouvoir vacciner avec discernement des patients qu’ils connaissent mieux que les armées de volontaires que l’on a contraint d’assurer les permanences de centres de vaccination.
Alors, voir aujourd’hui cette presse suiveuse venir relayer les agitations tardives de l’opposition, sent l’attaque du train postal lorsqu’il est vide et permettra justement au gouvernement de mettre tranquillement en place une stratégie de défense démontrant en quoi la valorisation des surplus par la revente est en cours, et que bien entendu, il fallait mieux être trop prudent que pas assez.
Tout ceci n’est que foutaise quand l’arnaque consiste une fois de plus à étourdir la population en la détournant des vrais problèmes pour la concentrer sur une épidémie somme toute classique et en l’occurrence qui s’est même avérée moins mortelle que la grippe saisonnière, un comble !
La méthode est toujours la même, instiller de la peur chez chacun de nous pour fixer l’attention sur de faux problèmes qui permettent de faire passer les pilules qui pourraient rester coincer en travers de la gorge de l’opinion. Quoi de plus adapté que ce qui touche à la santé de chacun pour déstabiliser une réflexion personnelle en conscience, a fortiori quand une presse complaisante s’en fait un relai uniforme et complice.
Alors vous me permettrez, quand je la vois désormais s’agiter pour effectuer une pseudo critique de la stratégie gouvernementale, sans en outre aborder le fond du problème qui dépasse de loin le stricte coût de la dépense en vaccin (encore faudrait-il y adjoindre les dépenses somptuaires pour la mise en place de la vaccination de masse), de ne pas croire un seul instant en sa volonté de faire ressurgir un des plus gros scandales de santé publique de ces 30 dernières années dont les conséquences sur la santé dans les années à venir ne seront certainement pas neutres (*).
Mais vous pouvez compter sur ce beau petit monde médiatique pour sortir les parapluies le moment venu et vous apporter la preuve « qu’ils l’avaient bien dit » !
(*) combien de personnes vaccinées avec un vaccin non encore testé et incluant une substance curieusement absente du vaccin qui a été utilisées pour vacciner les personnes à risques ?