"Les guerres et les élections ont été les principales menaces concernant les journalistes en 2009. Couvrir un conflit est de plus en plus dangereux, tant les journalistes sont pris pour cibles et risquent assassinats ou enlèvements. Mais faire son travail de reporter en période électorale peut s'avérer tout aussi dangereux et conduire directement en prison ou à l'hôpital. Les violences pré ou post-électorales commises contre des journalistes ont été particulièrement importantes en 2009 dans des pays peu démocratiques", explique le secrétaire général de Reporters sans frontières, Jean-François Julliard.
Ayons une pensée pour les deux reporters de France 3 kidnappés en Afghanistan alors qu'ils préparaient un reportage pour leur chaine. Les Talibans nient tout implication dans ce rapt, mais peut-on les croire ? S'agit-il de bandits désirant toucher le produit d'une rançon ?