Derrière cette annonce peu engageante de Jon Cruz se cache une problématique récurrente en prépresse: le nombre de couleurs.
Jon revient notamment sur les tons directs, dont le mélange ne relève pas de la quadri mais se prépare en amont à partir de recettes brevetées. Intégrer le CMJN implique d’anticiper les autres possibilités (bi-, tri-, voire hexachromie) et le problème de l’intégration de brevets dans un F/LOSS.