Je n’aurai donc pas l’hypocrisie de vous souhaiter une bonne année 2010. Tout au plus puis-je espérer, avec vous, que la gauche se requinque et réussisse à mobiliser ceux qui endurent et souffrent. Et ce n’est pas l’auto-satisfaction pathologique affichée par notre Président hier soir qui me fera changer d’avis.
J’espère aussi que chacun prendra conscience qu’être démocrate, c’est résister et se battre pour des valeurs de générosité, d’hospitalité, de justice et de solidarité, de liberté.
Bonne année citoyenne donc.