Ho ho ho, mais que voilà arriver avec les flocons et les sempiternelles bûches ? Le film de Noël, bien sûr, animé, de préférence et époque oblige, en 3D…
Bon, pas grand suspens, l’œuvre en question adapte fidèlement (que dis-je, mot pour mot) l’œuvre de Dickens, narrant la nuit de Noël d’un certain Mr Scrooge, dont la générosité légendaire a donné son nom version US à un certain… Oncle Picsou !
Mais passons : ce vieux grigou (Jim Carrey) est un avare notoire, rabat-joie de première, haï et craint de tous ses contemporains. Un 24 décembre, il s’endort, et le fantôme (flippant) de son défunt associé lui apparaît pour le prévenir que 3 fantômes de Noël vont lui apparaître : celui du passé (qui lui rappelle son enfance et sa jeunesse), celui du présent (qui lui montre la misère de son commis et comment il est perçu par ses proches) et celui du futur qui lui fiche une trouille bleue en lui expliquant qu’il sera enterré seul et sans son argent à ce rythme misanthrope…
Que croyez-vous qu’il arrivât ensuite ? Notre Scrooge, qui a senti le vent du boulet fantôme lui frôler les miches, se réveille tout frétillant, ultra généreux… il offre la dinde aux pauvres, une augmentation à son commis, il fait des glissades dans les rues givrées… bref, c’est le miracle de Noël, il est (re)né le divin Ebenezer, et même Allociné.