Tags et graffitti

Street Art.
Le graffitti-writing est apparu à la fin des années 60, au grand dam des propriétaires qui ont vu leurs façades salies.
Depuis les graffeurs sont plus ou moins à la mode. Leur art s'exprime jusque dans les galeries en tant qu'aspiration à la liberté. Ils ont démodé les taggers, considérés comme des vandales, qu'on essaie aujourd'hui de pénaliser.
Les graffeurs, parfois des pochoiristes, cherchent à étonner par leur libre expression. Ils ont transformé Barcelone jusqu'à l'écoeurement des habitants. Le Mur de Berlin fut pour eux un support idéal et apprécié.
A Vauban-Esquermes, sauf erreur de ma part, tous les murs graffés du quartier l'ont été avec la bénédiction de la Mairie. En 2004, le collectif d' Artistes lillois Guéria a investi les murs, les bâtiments, jusqu'aux transformateurs électriques.
L'imagination n'a pas manqué: étranges fresques, légumes souriants, bonshommes bizarres...
De tout cela, il ne reste pas grand-chose adopté par la population. On citera les portes de garage rue C. Desmoulins, rue Flamen, rue Lestiboudois...La façade de la salle Pacôme Bd de la Moselle, du lycée Monte bello Bd de Metz.
Les graffeurs Jo, Brahim Asloum, Isham...
Ces idées n'engagent que moi!