Akmal Shaik a été exécuté par le pouvoir chinois alors qu'il était sans doute plus coupable de naïveté que de trafic de drogue.
C'est sûr que lorsque l'on en a plus d'un milliard sous le coude, une vie de plus ou de moins... D'ailleurs, cela n'a pas empèché la bourse de Hong-Kong de terminer en hausse. Pendant les exécutions, le business continue, l'économie et les droits de l'homme, ce n'est pas soluble...
Pour rendre hommage à Akmal et faire subir un camouflet à un pouvoir sans pitié, on peut faire de sa chansonnette un tube planétaire...
He is British, he is bipolar and... he is dead...