Je ne fus point assez vive lorsque Nièce-Aînée s’écria “Regardez, deux chevreuils, là !”. Même pas la peine d’essayer de photographier les quadrupèdes détalant vers la forêt profonde. J’ai poussé la molette vers “vidéo”, c’est flou, mal cadré, techniquement moche, mais quel plaisir ce fut de voir ces deux animaux-là, avec certes une pensée émue pour leur cousin dont nous avions dégusté la cuisse lors du repas du noël.