Je suis en colère en ces jours de fêtes car à Fontenay le convivial esprit de ces derniers jours de l'année a été brisé à deux reprises par des actes
inqualifiables. Le Gévaudan a trouvé si j'ose dire sa ou ses bêtes! L'ignominie imbéciles de brutes décervelées brise le lien social difficile tisser dans ce quatier des Larris.
Il faut vite, très vite, réfléchir ensemble sur l'avenir de ce lieu avant qu'il ne devienne la proie des bandes, des mafias, des petites terreurs fascisantes, sorte de lupen prolétariat d'un
sarkozysme flamboyant où le gouvernement appuie sa poltique de casse pour mieux déréguler le sens commun de la société! Dans notre réflexion il ne faudra pas avoir peur des mots et de la
recherche de solutions plus efficientes et surtout abandonner l'angélisme coutumier qui nous anime. Pour ma part j'ai toujours revendiqué l'esprit du socialisme, cher à Léon Blum, Jean Jaurès,
qui savait défendre les valeurs et savait punir lorsque le peuple est menacé. Aux Larris nous sommes menacés.