COPENHAGUE a fait l’actualité avec son cortège de cortèges, et ses manipulations médiatiques, par CLIMATGATE et GIEC interposés.
Dans cette urgence « tendance » que LIBR’ACTEURS observe, en rappelant qu’en matière de défense de la plante, nous avons quelques références, nous extrayons un article de R.F.KENNEDY, neveu de JFK :
"A l’évidence, comme nous l’avons souligné encore récemment les niches de croissance pour demain se situent dans des technologies liées aux contraintes environnementales. Dans cette course a la maitrise des filières vertes, les pays émergents, et notamment la CHINE, prennent une avance évidente sur les pays de l’OCDE, USA compris.
Ainsi après la phase d’exportation de produits courants, dont la qualité est souvent sujette a caution, la Chine, se dote de savoir faire par des transferts technologiques, dans des domaines nouveaux de la filière verte. Elle va ainsi asseoir, et l’INDE lui emboite le pas, une domination sur ces nouveaux marchés. Il est patent que les technologies dites avancées, ne sont plus la chasse gardées des pays de l’OCDE, et de surcroît, la démocratie et le libéralisme sont d’ores et déjà des handicaps, face a un pays, dont le dirigisme pilote l’emploi et les mouvements de capitaux. La parade, aussi bien aux USA qu’en EUROPE n’est pas aisée.
Nous ne croyons pas à un comportement de MOUTONS DE PANURGE, qui consisterait à courir aveuglément après ces nouveaux concurrents"
Nous croyons beaucoup plus, et en cela nous ne suivons pas R.F. KENNEDY, dans un formidable effort pédagogique, qui nous semble être le meilleur remède protectionniste, en restituant à nos concitoyens, libre arbitre et faculté de discernement.
Il faut expliquer les mécanismes économiques, et ce qu’est la balance des paiements. Il faut montrer qu’en achetant « Chinois », c’est une victoire a la PYRRHUS. L’économie de l’instant même si la qualité est égale, voire supérieure, est une perte demain de l’emploi ici et de nos savoirs faire.
Nous croyons qu’il faut aider, nos PME/PMI, et dans le même temps redonner du pouvoir d’achat aux classes basses et moyennes, qui portent la consommation.
Ensuite, on est dans ce que l’on appelle le BEHAVIOUR, le comportemental. Après avoir clairement expliqué ce qui va advenir, si le citoyen persiste dans des achats et consommations irraisonnées, c’est sa responsabilité.
Cela passe par une nouvelle donne économique et sociale, ou l’on privilégie un capital de proximité, vertueux et patient, qui en collaboration avec un salariat, impliqué et conscient, permettra à une nouvelle race d’entreprises citoyennes, de produire des biens et services, totalement « Made in France », et repérés comme tels par le citoyen, contribuable consommateurs.
Comme nous l’avons déjà dit et écrit ce modèle, tiré de celui de l’économie sociale adapté, sera disponible pour la gestion de nos grands services publics, aux quels nombreux sont ceux qui y sont attachés.
Richard HASSELMANN
Les Libr'acteurs profitent de ce billet pour souhaiter de bonnes fêtes de fin d'année à tous leurs lecteurs.