Hans-Rudolf, notre grand dadais fédéral a encore frappé.
Et visiblement aucune connerie ne résiste à son auguste personne. Selon sa grâce magistrale et juste encore présidentielle, l’idée de taxer les bonus est bonne, mais trop difficile à mettre en œuvre, car il y a trop de moyens à disposition pour y échapper.
Avec ce genre de raisonnements on va loin en politique, voyez la carrière de l’auteur et ses frasques en 2009. C’est aussi une démonstration de sa façon d’obtenir des résultats de ses troupes en les motivant : super chef que voici.
Mais à part ça, s’il ne veut pas taxer les bonus, qu’il taxe les banques, c’est tout simple. On ne leur demande de fournir qu’un seul renseignement, le nombre de cadres employés, et on balance par retour de courrier A une bombe à fiscalisation multiple sur le siège social.
Difficile d’en réchapper.
PS: l’image qui accompagne ce texte est destinée au petit con tribuable qui veut colorier quelque chose pour l’offrir pour Noël à son grand con seiller fédéral